L’incidence des changements climatiques sur le paludisme dans les régions côtières du Ghana 1 © Moses Melphis Abai
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Date
2015-04
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International Development Research Centre Centre de recherches pour le développement international
Abstract
Dans les villes côtières du Ghana, les
facteurs climatiques comme les inondations
et le réchauffement ont une incidence sur la
prévalence du paludisme.
• Les conditions environnementales jouent un
rôle essentiel dans la transmission de cette
maladie, et les moustiques s’adaptent à des
lieux non traditionnels pour se reproduire,
comme les drains de surface obstrués.
• Si l’on souhaite réduire l’incidence du
paludisme, les communautés et institutions
doivent participer pour éliminer les
sites potentiels de reproduction des
moustiques dans l’environnement. Il est
également essentiel de mettre en œuvre
des programmes d’éducation sanitaire et de
lutte renforcée contre la maladie.
• Entre 2020 et 2080, on estime que la saison
de transmission maximale du paludisme (de
mai à juillet) se décalera d’un ou deux mois
en raison du décalage correspondant des
périodes de pluie.
• À long terme (2020-2080), la prévalence
du paludisme devrait toutefois diminuer en
raison d’une réduction des précipitations
et de températures dépassant les 35 °C, des
conditions peu propices à la reproduction
des moustiques qui transmettent cet
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An article published by International Development Research Centre
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International Development Research Centre Centre de recherches pour le développement international